Textes des chansons interprétées par la chorale des internes de
Nancy
Congrès national de l’internat - Nancy 1964
1. Le con et la
bouteille
Nargue
des pédants
et des sots
Qui viennent
chagriner notre âme,
Que fit Dieu pour guérir
nos maux !
Les vieux vins
et les jeunes femmes.
Il créa pour notre
bonheur
Le sexe et le
jus de la treille ;
Aussi, je viens en son honneur
Chanter les cons et
les
bouteilles.
Dans
l'Olympe, séjour des Dieux,
On boit, on patine les
fesses ;
Et le
nectar délicieux
N'est que le foutre des
déesses.
Si j'y vais, jamais Apollon
Ne charmera
plus mon oreille ;
De Vénus,
je saisis le con,
De Bacchus, je prends la bouteille.
Dans
les bassinets féminins,
Quand
on a brûlé des amorces
Quelques bouteilles de vieux vin
Au vit rendent toute
sa force.
Amis, plus on boit,
plus on jouit ;
Un buveur décharge à merveille,
Aussi le vin pour dire tout,
C'est
du foutre
mis en bouteille
Le
con et la bouteille.
On ne peut pas toujours
bander,
Du vit le temps borne l'usage,
On se fatigue à décharger ;
Mais, Amis,
on boit à tout âge ;
Quant aux vieillards, au
froid couillon,
Qu'ils utilisent mieux
leurs vieilles.
Quand on n' peut plus
boucher de cons,
On débouche au moins des bouteilles.
Mais,
hélas ! Depuis bien longtemps,
Pour punir nos
fautes maudites,
Le bon Dieu fit
les cons
trop grands
Et les bouteilles trop petites !
Grand Dieu ! Fais,
nous t'en supplions
Par quelque nouvelle merveille,
Toujours
trouver le fond du con,
Jamais celui de la bouteille.
2.
La femme du vidangeur
REFRAIN
La
femme du vidangeur
Préfère à toute odeur
L'odeur de son amant
Qu'elle aime tendrement
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui s'aimaient
par devant
Par derrière
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui faisaient par derrière
Ce qu'on
fait par devant
La peau de mes
rouleaux
Par tous les
caporaux,
La peau de
mes roupettes
Pour l'caporal trompette
La peau de
mes roustons
Pour l'caporal clairon
Ce qui pend
par devant
Ce s'ra pour
l'adjudant
Le reste de
la boutique
Pour le chef
de musique
Mes balles, mes
balles
J'ai
la castapian' dans l'ventre
Disait
un curé à ses chantres
A
ses enfants de chœur
Deo Gratias
J'ai du poil au cul, du
poil au cul,
du poil aux
fesses
J'ai du poil
au cul, du poil au con,
du poil
au con
Le
trou du cul tout déchiré
Tout
décousu, Foutu.
L'autre jour, l'idée
m'est venue
Cré nom de Dieu, d'enculer un pendu
Mais
l’vent soufflait dans la potence,
Voila
mon pendu qui s'balance,
J'ai jamais pu l'enculer
qu'en volant
Cré nom de Dieu, on n'est jamais
content.
Quand
on baise un con trop petit
Cré nom de Dieu, on
s'écorche le vit
Mais
quand on baise un con trop large
On
ne sent pas quand on décharge
Et
se branler est bien emmerdant
Cré nom de Dieu on n'est
jamais content.
En
arrivant au Paradis
J'ai senti se lever mon vit
J'enculai Saint Michel Archange
La Sainte Vierge et tous les anges
Et si l'Bon Dieu n's'était pas cavalé,
Cré
nom de lui, j'l'aurais enculé.
3.
La chanson de Bicêtre
REFRAIN
On
n' peut pas bander toujours,
Il
faut jouir de ses roupettes
;
On
n' peut pas bander
toujours,
Il
faut jouir de ses amours.
Dans
ce Bicêtre
où l'on s'embête,
Loin de Paris que
je regrette,
J'ai bien souvent et
longtemps médité
Sur la vieillesse et la caducité,
Amis, amis, apprenez à connaître,
Ce vieux refrain, ce refrain de Bicêtre...
D'un vieux, un jour, j' tenais la quéquette,
La sonde en main, de l'autre la cuvette,
Pendant ce temps mon esprit méditait
Ce que tout bas le vieillard me disait :
"Prenez
bien soin de ces pauvres gogottes,
Un jour viendra vous pisserez sur vos bottes..."
Idiots, fous, épileptiques,
Sont des arguments sans réplique ;
Tout dépérit, le pauvre genre humain
N'a plus d'espoir que dans le carabin.
Or, pour créer une race nouvelle
Jamais, enfants, ne mouchez la chandelle...
A l'œuvre donc jeunes athlètes,
Gaillardement, engrossez les fillettes,
Baissez, foutez, ne craignez nul écueil ;
Quand on est jeune, il faut baiser à l'œil,
Avec le temps, Vénus devient avare,
Aux pauvres vieux, le coup est cher et rare...
Quand la vieillesse triste et caduque
Vous foutra son pied sur la nuque,
Quand votre vit à jamais désossé,
Sur vos roustons pendra flasque et glacé,
Allez crier à la face du prêtre,
Ce vieux refrain, ce refrain de Bicêtre…
4. La patrouille
Viens par ici, viens mon p'tit homme,
N'y-a pas tant d'monde, on n'y voit rien.
Déboutonne-toi tu verras comme,
Je s'rais gentille et j'aim'rai bien.
Tu m'donn'ras six sous pour ma peine.
Béni soit le noeud qui m'étrenne.
REFRAIN:
Ah! Ah! Ah! Ah!
C'est une patrouille! Attends-moi là!
Entretiens-toi pendant qu'elle passe.
C'est une patrouille! Attends-moi là!
Entretiens-toi pendant c'temps-là.
C'est des boueux, n'y prends pas garde.
Viens, que j'te magne ton p'tit outil.
Vrai, j'avais cru qu'c'était la garde.
Il bande encore, est-il gentil!
Allons, et que rien ne t'arrête,
Fais-moi cadeau d'ta p'tite burette.
Vrai, j'en ai t'y d'la veine tout d'même,
T'as du beau linge. Es-tu marié ?
T'es un bel homme, t'as des yeux qu'j'aime.
Tu dois au moins être épicier ?
Ou même représentant d'la Chambre.
Jouis donc, cochon. Ah! le beau membre !
J'ai beau magner ta p'tite affaire.
Qu'est-ce que t'as donc, qu't'en finis pas ?
C'est-y qu't'aurais trop bu d'la bière,
Ou bien ma gueule qui n'te r'vient pas ?
Pense à une femme qu'aurait d'belles cuisses,
Ou bien pense à l'Impératrice.
Qu'est-ce que tu dis ? Capote anglaise ?
Mon cul est aussi propre que l'tien.
Et je m'fous pas mal de ta braise.
Tu peux t'en r'tourner d'où tu viens.
Qui m'a foutu c't'espèce d'andouille,
Qu'a seulement rien dans l'fond des couilles ?
T'es rien poireau si tu supposes
Que j'vais t'la sucer pour vingt ronds.
Allons, aboule encore quéqu'chose,
Tu verras si j't'la pompe à fond.
Tiens, y-a le fils à M'sieur Auguste,
Qui m'donne trente sous quand j'la lui suce.
C'est des marlous d'ma connaissance.
Mais, par où donc qu'il est passé ?
Que j'y finisse sa p'tite jouissance.
C'est-y vous, M'sieur, qu'j'ai commencé ?
Eh! Non ça c'est pas chouette tout d'même,
C'est qu'il a du s'finir lui-même !
Refrain de fin :
Ah! Ah! Ah! Ah!
Cré nom de Dieu, cré nom de
d'là !
Faut pas d'crédit dans c'métier là !
Cré nom de Dieu, cré nom de
d'là !
Faut pas d'crédit dans c'métier là !
5. Les bouchées à la Reine
Le Roi disait à la Reine
Victoire
"Si
tu voulais
Entre tes doigts
réchauffer mon histoire
Je banderais
Si tu voulais dans ta
royale bouche
Prendre mon vit
Tu pourrais dire
praticienne farouche
Le roi jouit." (bis)
Mais c'est en vain que la rein' lui chatouille
Le trou du cul
Ses doigts légers lui
patinent les couilles
C'est temps perdu.
"Va,
lui dit-il, ta peine est inutile
Je
suis trop vieux
Va-t-en
trouver mon cousin de Joinville
Il
bande mieux."
"Ton de Joinviile est un
gros bande à l'aise
Qui l'autre jour
Pour
m'enculer à la façon française
Me
fit la cour
Et par trois fois
s'astiquant la quéquette
Il se branla
Mais il ne put enfoncer
ma rosette
Il débanda".
"Tiens,
dit le roi, tu vas voir apparaître
Un
gros cochon
Car à l'instant je m'en va te
mettre
Ma langue au con"
Et s° installant
sur la royale couche
Suc' le bouton
La reine alors lui décharg’
dans la bouche
"Ah que c'est bon !"
Du trou du cul de la reine en folie
La merde sort
Le roi aval' ce que la reine chie
Ca lui fait tort
Cet
excrément qu'il digère avec peine
Monte et revient
"Cré nom de Dieu les
bouchées à la Reine
Ca ne vaut rien."
6. Les trois orfèvres
Trois
orfèvres à la Saint-Eloi
S'en allèrent dîner chez un autre orfèvre
Trois orfèvres à la Saint-Eloi
S'en allèrent dîner chez un bourgeois.
Ils ont baisé toute la famill,
La mère au nichon,
Le père au cul,
La
fille au con.
REFRAIN
Relevez, la
belle, votre blanc jupon,
Qu'on vous
voit le cul, qu'on vous voit les fesses.
Relevez, la
belle, votre blanc
jupon,
Qu'on vous voit le
cul, qu'on vous voit
le con.
La servante qui avait tout vu
Leur
dit "Foutez-moi votre pine aux fesses."
La
servante qui avait tout vu
Leur dit "Foutez-moi votre pine dans l'cul".
Tous trois l'ont baisée assis sur une chaise.
La chaise a cassé,
Ils sont tombés sans débander.
Les orfèvres non contents de ça
Montèrent sur le toit
pour baiser minette,
Les orfèvres non
contents de ça
Montèrent sur le toit pour baiser le chat.
Chat, petit
chat, chat, tu m'égratignes,
Petit
polisson, tu m'égratignes
Les roustons.
Les orfèvres chez le
pâtissier
Entrèrent pour manger quelques friandises
Les orfèvres chez le pâtissier
Par les marmitons se firent enculer.
Puis voyant leurs vits pleins de merde,
Ils ont bouffé ça
En guise d'éclair au
chocolat.
Les
orfèvres au son du canon
Se retrouveront tous à la frontière
Les
orfèvres au son du canon
En guis' de boulets lanceront des étrons.
Et bandant tous comme des carmes,
A grands coups de vits
Repousseront les ennemis.
7.
Le jeune homme de Besançon
Un
jeune homme de Besançon (bis)
Qu'avait les poils du
cul trop longs (bis)
Se retira
pour se les tondre
Dans un endroit obscur et sombre
Comme il n'y voyait qu'à
demi (bis)
Il se coupa
Un deux
trois
Le bout
du vit.
Mécontent de
c' qu'il avait fait
Il prit
les ciseaux qu'il tenait
Et les
jeta sur une vieille
femme
Qui aussitôt
rendit l'âme.
La justice
qui passait par
là
A être
pendu... le condamna.
Comme au
supplice
on le
menait
Et, que le bourreau le
tenait
Il prit
son vit à la poignée
Et le montra à
l'assemblée
Le bourreau que cela
fâcha
Prit son couteau... et lui coupa.
Toutes les dames de la
cour
De la
ville et puis du faubourg
Prirent des pierres en abondance
Et les jetèrent
avec violence
Sur celui qui
du jouvenceau
Avait coupé
le long boyau.
Mais le plus drôl' de c't' histoire-là
C'est que
le bougre en
réchappa
Il n'en perdit pas
une pâme
Et s'envoya
plus d'une dame
A la barbe du
capucin
Qui l'appelait...
fils de putain.
8.
En Revenant du Piémont
C'était en rev'nant du Piémont (bis)
Nous étions six jeunes garçons (bis)
Mais pour de l'argent nous n'en avions guère,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
A nous six nous n'avions qu'un sou
Sans devant derrière et sans dessus dessous !
Nous
arrivâm's à un logis (bis)
"Madam' l'hôtess',
qu'avez-vous cuit?" (bis)
"J'ai du lapin, du civet d' lièvre,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Et de la bonne soupe aux choux"...
Et
quand nous eûmes bien dîné (bis)
"Madam' l'hôtesse où nous loger?" (bis)
"Vous coucherez sur la litière,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Ou bien vous couch'rez avec nous"...
Sur
les onze heur's on entendit
(bis)
L'hôtesse pousser de grands cris: (bis)
"Vous m'avez rompu la charnière,
Sans dessus dessous et sans devant derrière,
Allez-y donc un peu plus doux"...
Et
la bonn' qui était en bas (bis)
Dit: "N'y en a-t-il pas pour moi?" (bis)
Y en aura pour la chambrière.
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Car nous tirons chacun six coups...
Mais
quand ce fut sur les minuit (bis)
Il se fit un bien plus grand bruit (bis)
Le lit du d'ssus se fichait par terre
Sans dessus dessous sans devant derrière
Avec la bonn' qui baisait d'ssous...
Quand
vous repass'rez par ici (bis)
Souvenez-vous du bon logis (bis)
Souvenez-vous en d' la bonne hôtesse,
Qui remue le con, qui remue les fesses,
Sans dessus dessous sans devant derrière
Et de la p'tite bonne qui remue tout...
9. Stances à Sophie
Tu
m` demandes tes lettres, ta photographie,
Ton éponge à cul, ton bidet d' métal.
Je m'en fous pas mal, ingrate Sophie,
Et j' te renvoie l’tout par colis postal.
Tu veux faire la peau, un métier d' grenouille,
Et me remplacer par d'autres amants.
Mais, vois-tu, j' m'en fous comme d' la peau d' mes couilles.
Car tu pues du bec et t'as l' con,
trop grand.
Je t'ai rencontrée un soir dans la rue,
Où tu dégueulais tripes et boyaux.
Ah ! si
j'avais su qu' tu n'étais qu'une grue,
J' t'aurais balancée par l' trou des gog'nots.
Mais j' t'ai ramassée, Dieu, que j'étais bête
Car le lendemain je m'suis aperçu
Qu’ j'avais des morpions des Pieds à la tête,
Des poils du nombril jusqu'au trou du cul.
Et le lendemain, t'avais tes affaires.
Le sang inondait la chambre à coucher.
N'a-t-il pas fallu pour te satisfaire
Que j'te liche le con pour le mieux sécher ?
En
ai-je bouffé de tes pertes blanches !
Mais
quand j'ai voulu tirer un bon coup,
Tu
ne gigotais pas plus qu'une planche
Et je m'esquintais sans rien faire du tout.
Et puis tu avais des passions honteuses.
J'en
rougis encore rien que d'y penser.
Et pour apaiser ta chair luxurieuse,
A tous tes caprices m'a fallu céder.
N'a-t-il
pas fallu que ma langue se perde
Dans les plis
profonds de ton trou du cul ?
Je
l'ai retirée toute pleine de merde.
J'en ai dégueulé, tu n'en as rien su.
Adieu pour toujours, va, tu me dégoûtes.
De toi, je me fous, je sais me branler.
Je
ferai gicler mon sperme goutte à goutte
Plutôt
que d' revenir te caramboler.
Oui,
c'est bien fini, je te l' dis, sans glose,
N'ayant plus d'putain, je n'serai plus cocu.
Et si,
par hasard,
je te fais quequ'chose,
Ce n'sera jamais qu'un coup d'pied dans l'cul.
10. La tonkinoise
Un dimanche
Sous les branches
Le soleil était radieux .
Je partis pour la Lorraine
Le seul pays où l'on s'aime
Une Anglaise
Aux yeux d' braise
Se prom'nait flegmatiqu'ment
Je lui dis en souriant:
Veux-tu que j' sois ton amant?
Je te bais'rai en levrette,
Soit sur le lit, la tabl' de nuit, dans la cuvette,
Soit debout, soit sur une chaise
Nous nous bais'rons à notre aise
Je te ferai ma petite poulette,
Feuille de ros', soixante-neuf ou bien minette,
Je te peloterai les seins
Pour me faire dresser l' marsouin
La gamine
Très caline
Accepta avec passion,
Mais la môm' qu'a pas la trouille,
M'attrap' la peau des couilles
Ma quéquette
Dress' la tête
Et nous voilà tous les deux
De plus en plus amoureux
Sur un canapé moelleux.
Très émue elle sanglote:
Fais-moi jou-ir, enfonc'-moi
ta pine dans la motte
Va, je ne suis pas farouche,
Tu peux m' la mettre dans la bouche.
Aujourd'hui c'est jour de fête,
Attends un peu, j' vais te chipper les deux roupettes
Avec mes nichons pointus
J' te chatouill'rai l' trou du cul
On écart' d'abord les cuisses,
Sans s'occu-cu-, sans
s'occuper du trou qui pisse
Pour qu' la jouissanc' soit complète,
On lui mets dans l' trou qui pète
Puis avec de la vaseline
pour faire gli-gli, pour faire gli-gliisser la pine
Si on n' sent rien en entrant,
on sent la merde en sortant !
11. Le Roi de Bavière
Il
était naguè-è-ère
Un Roi de Bavière
Toujours suivi
D'un fool ennui
Que
rien ne pouvait distraire.
Un soir sous l'ombrage
Seul avec son pa-age
Il
entendit-it dans la-a forêt
Une voix qui chantait
Moi,
je suis putain
Sacré nom d'un chien
Et
pour un écu
Je
fais voir mes fesses
Moi
je suis putain
Sacré
nom d'un chien
Et
pour un écu
Je
fais voir mon cul.
Page,
quelle est cette voix de fauve-ette
Sir
c'est Agnès qui se branle seule-ette
Et
qui s'en va chantant
Ce
refrain si charmant
Moi
je suis putain
Sacré nom d'un chien
Et
pour un écu
Je
fais voir mes fesses
Moi
je suis putain
sacré nom d'un chien
Et
pour un écu,
Je
fais voir mon cul.
Gentille
bergè-ère
Ta
voix sut me plaire
Vien-ens dans mon-on palais avec moi
Mes
trésors sont à toi
Sir'
vos trésors ne me ten-entent guè-ère
Vous
pouvez bien vous les foutre au derrière
Et
le roi l'épousa
Et
le soir il chanta
Ah !
petit' putain
Que
tu baises bien
Ton
con chauss' mon vit
Co-omme une chasse
Ah !
petit' putain
Ton
con chauss' mon vit
Co-omme un écrin.